Villa Tunari en Bolivie le parc Machia ( Inti Wara Yassi) refuge pour les animaux et possibilite de bénévolat

Villa Tunari est un petit village très prisé des habitants de Cocha pour le week-end et l'été. Il se situe à 160km à l'est de Cocha sur la route nord vers Santa Cruz. La raison principale pour notre séjour ici était le refuge Parque Ecoturistico Machia. On avait fait quelque recherches et nos attentes étaient grandes (trop grandes) on avait même songé faire du bénévolat a cet endroit.

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Dimanche le 14 juin 2008 Villa Tunari

Nous nous levons vers 7 h et après une douche bien froide, nous nous dirigeons vers la rue où sont les bus pour Villa Tunari. On fait le tour des bus les prix varient entre 13 et 25 BS pp. Le choix est vite fait et nous prenons la Flota German Bush à 13BS et un bus tout neuf avec encore les plastiques sur les sièges en prime. Le trajet est long, un bon 4heures pour les 160km.

Nous arrivons à Villa Tunari et passons beaucoup de temps à chercher un endroit où dormir pas trop cher. Il y a bien une dame qui tient un camping et nous fait le prix spécial de 5Bs PPP par nuit, mais elle n'a plus d'eau courante. De plus, les nuages sont menaçants et on ne veut pas se retrouver à la flotte. On prend le temps de diner avant de retourner à la recherche d'une chambre.

On trouve enfin quelque chose de correct sur la route : Alojamiento Aurora qui nous offre une grande chambre 2 lits à 20Bs pe c'est le moins cher que nous avons trouvé.

Par la suite nous allons voir pour le refuge Inti Wara Yassi. Il est déjà tard et comme nous nous imaginions qu'il était énorme, on décide de remettre à plus tard la visite. Malchance, demain lundi le refuge est fermé pour maintenance, se sera donc reporté à mardi.

Nous avions dans notre idée que pour voir les animaux (on les croyait dans de grands enclos) il nous faillait patience et plusieurs heures de marche.

Mardi le 16 juin 2008 Inti Wara Yassi

Le matin une pluie diluvienne nous tombe dessus. En cas de pluie le refuge est fermé c'est donc en après midi que nous nous rendons enfin au refuge. Le droit d'entrée est très peu élevé 6Bs pe mais le droit de photo est à 15Bs et vidéo à 25Bs. Nous ne prenons que le droit aux photos. En 2 minutes de marche dans le sentier nous arrivons dans un cul-de-sac où il y a plusieurs singes soit en libertés soit attachés. C'est la fin de ce sentier.

Villa Tunari

Villa Tunari Villa Tunari

Un autre 2 minutes et nous arrivons devant de grandes cages pour les perroquets et voilà c'est tout pour les animaux!

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Il y a par la suite un trajet de 2-3heures pour les cascades ou nous pouvons encore voir et entendre quelques singes mais ça se résume en gros à ça. Ça peut être plaisant pour voir quelques singes pour qui n'en a pas vu beaucoup mais même si nous adorons tous les deux les singes et que nous ne nous lassons pas d'en voir... disons que nous avons vu beaucoup plus, beaucoup mieux ailleurs. À la sortie nous voyons le Puma en laisse qui ne semble pas vouloir boucher et un ours jouant au ballon.

Villa Tunari
Villa Tunari
C'est un refuge qui vient en aide aux animaux qui ont été maltraités ou blessés. (anciens animaux de cirque par ex). En théorie, l'association essaie de réapprendre les lois de la jungle à ces animaux pour qu'ils puissent par la suite prendre la route de la liberté. On s'attendait à quelque chose comme le refuge Pageau en Abitibi (notre région) avec des animaux différents;) On pensait à de grands enclos, une volière pour les oiseaux... Beaucoup d'animaux... On ne s'attendait pas à voir des singes attachés par le cou ou la patte, des oiseaux en cage individuels... le puma en laisse... (OK en laisse mais le reste du temps il est en cage?) et un ours attaché qui joue au ballon avec un volontaire. Peut-être que ces animaux ne peuvent plus aller à l'état sauvage mais s'ils étaient dans un grand enclos, le puma n'avait pas besoin de s'étendre sur les marches en ciment devant l'entrée et l'ours pouvait se dégourdir seuls. Donc nous avions une attente surement démesurée, en pensant que ce refuge remettait en liberté plusieurs dizaines d'animaux par année comme ça se fait chez nous. Les volontaires sont nombreux à s'occuper, à jouer avec ses animaux et à les cajoler. L'ambiance doit être très agréable mais nous sommes plus qu'heureux de ne pas avoir choisi de nous arrêter un moment ici.


Changement de trajet

On passe une heure sur le net à la recherche de nouvelles informations. On décide de ne plus continuer vers l'est : Santa Cruz et les missions jésuites et on refait marche arrière. On ne sait pas si on manque vraiment quelque chose mais cette boucle nous semble maintenant une corvée. Donc demain retour à Cochabamba.

De mercredi 17 juin au Jeudi 19 juin 2008
Pour le retour à Cocha nos devons soit arrêter un bus en route (il n'y a pas d'arrêt ou de terminal fixe dans ce village) soit prendre un des nombreux micros rapides à 30Bs pp. Comme nous n'avons pas les heures des bus et que le prix de ceux-ci varie de 13 à 25Bs on décide de prendre un micro qui nous sauvera 2heures de route. (Les bus prennent 6heures en ce sens selon la dame de l'hôtel) Nous arrivons donc rapidement à Cocha et par la suite nous regardons pour un bus pour La Paz avec l'intention de s'arrêter pour Sajama. Nous passons une nuit à Cocha. Le lendemain nous décidons dans le bus de continuer pour La Paz, 25Bs pe (que nous arrêtions avant ou pour le trajet complet) il y a de tous les prix donc il faut faire le tour des compagnies. Nous arrivons en début d'après-midi donc une nuit à La Paz et nous partons le vendredi 19 juin à 11 h pour Rurrenabaque avec en arrière pensé notre déception de Villa Tunari.


Par Maryse Guévin et Dany Thibault
Voyage Tour du monde 2006-2010
Photos, vidéos, budget et carnet de route (récits de voyage)

Le festival folklorique de Punata, danses traditionnelles de Bolivie

Punata

Vendredi 13 juin 2008 Le festival Folklorique de Punata

Sur toutes les affiches, il est indiqué que le festival commence à 10 h, donc nous partons tôt pour avoir une bonne place. Finalement c'est vers 12 h 30 que le tout commence et sous un soleil de plomb. Nos achetons une place assise à 5Bs la place. Dommage que les vendeurs passaient sans relâche devant nous. Les danses très variées d'ethnies se sont succéder les unes a la suite des autres pour terminer en fin d'après-midi vers 18 h. Une belle journée tout en couleurs qui se résume mieux en images qu'en mots. (même si en photos on a eu quelques difficultés avec le focus)

Vidéo du festival de Punata



Nos photos du festival folklorique de Punata
Punata
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Punata

Punata

Punata

Punata

Punata

Punata

Punata


Par Maryse Guévin et Dany Thibault
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Cochabamba, Tarata et le marché du mardi de Punata en Bolivie.

Marché de Punata

Cochabamba est situé à 2500 mètres d'altitude et est la 3e plus grande ville de Bolivie. La ville est un marché en soi, elle est incroyablement vivante. Au nombre de marchés et la la grandeur de chacun d'eux, on est surpris qu'il reste des gens pour acheter. La ville a la réputation de la saj'ra hora (l'heure maudite du petit creux) et c'est 5 repas par jour. C'est vrai qu'il y a des petits trucs à manger partout. C'est aussi ici à Cocha que l'on peut voir le Cristo de la Concordia, qui dépasse de quelques centimètres celui de Rio et de Lisbonne. Il mesure 33 mètres (un par année du Christ) et est à 2500m.

Murale
Ville de Cochabamba en Bolivie

Mardi 9 juin 2009
On arrive à 5 h on est fatigués, on n’a presque pas dormi de la nuit et il fait assez froid. On ne sait pas trop où se diriger, réveiller les hôteliers à cette heure ne nous donnera pas de bons prix et en plus on ne veut pas payer la journée de 5 h à midi. Un gars nous propose un hôtel à 50Bs pour les deux avec salle de bain privé et eau chaude. C'est tentant surtout qu'il nous le propose pour 24 h (donc sorti de l'hôtel à l'heure que nous sommes rentrés). Il nous propose même de nous y conduire. Après hésitation on décide de prendre cette direction mais a pied. On tourne un peu avant de trouver la bonne rue. Nous arrivons à 6 h 30 à l'hôtel, une dame vient nous répondre, on prend la chambre en échange d'un 2heures supplémentaire, donc sortie demain vers 8 h.

Bus coloré de Cochabamba
Ville de Cochabamba en Bolivie

On dort un peu mais on est vite réveillé. Aujourd'hui, c'est le marché de Punata et Maryse insiste pour y aller. On prend donc la direction de la parada de bus pour Punata à quelque rues de notre chambre et nous nous installons pour un 50 km de petit bus à 4,5BS (ou 5Bs en micro) et 1 h 30 de voyage. Nous arrivons dans cette petite ville qui accueille tous les mardis un marché gigantesque. Nous ne sommes pas déçus, on parcoure plusieurs rues qui sont toutes aussi remplies. On ne s'attendait pas à quelque chose d'aussi gros. Nous ne voyons aucun autre touriste, il y en a certainement quelques-uns mais c'est tellement grand qu'ils passent inaperçus; ça fait différent de Tarabuco. Il est vrai que les gens sont un peu moins colorés (moins de chapeaux différents), en contrepartie, on peut prendre des photos beaucoup plus librement, un marchant de pain nous a même demandé de le prendre en photo.

On y trouve de tout
Marché du mardi de Punata Marché du mardi de Punata
Marché du mardi de Punata Marché du mardi de Punata

Marché du mardi de Punata Marché du mardi de Punata

Nos photos du marché à Punata
Marché du mardi de Punata
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Nous apprenons aussi que samedi il y aura un grand défilé de danses folkloriques, on y retournera donc sous peu. On fait quelques petits achats pour notre souper de ce soir et comme la fatigue nous reprend nous partons assez tôt pour Cochabamba pour retrouver notre lit rapidement. On a la drôle de sensation d'avoir vécu deux jours en une avec cette journée bien remplie.

Marché Punata
Marché de Punata

Maryse et son Nikon
Nous nous donnons comme mission de trouver un appareil photo Nikon (ce n'est pas une tâche facile de trouver du Nikon professionnel en Bolivie). On trouve enfin quelque chose qui ferait mon bonheur (même si le prix est beaucoup plus élevé qu'au Canada). Je fais des recherches sur le net et je choisis enfin le modèle. Il a 4 choix dont deux reconditionnés. Je choisis de prendre le D60 (c'est récent pour ici). Je l'essaie et là LA surprise, ce n'est pas mon appareil qui me suit depuis 4ans qui fait défaut pour le focus (il a d'autres bris mineurs mais pas celui-là) mais mon objectif 18-200VR sigma que j'ai acheté il y a 11 mois pour remplacé le 18-200VR Nikon qui a rendu l'âme (le focus également) en Égypte! Encore l'Objectif, j'ai de la difficulté à y croire, et ça me fait vraiment ch...... au prix que ça ce vend... Et là comme mon boitier n'est pas à son meilleur non plus, je regarde les autres appareils (Sony, Canon) mais difficile de savoir ce qui ferait mon bonheur. J'ai presque craqué pour le Sony A200 avec objectif 18-70 et 75-300 mais changer l'objectif en voyage ce n'est pas des plus plaisant. Je décide d'attendre encore, c'est un bon investissement et je ne voudrais pas être déçu surtout que le seul vendeur (et pourtant on a vraiment cherché) d'appareils professionnels a plus ou moins pignon sur rue. Et puis je deviens de plus en plus rapide pour le focus manuel, je ne sais pas s'il en sera de même pour les animaux, surtout que du même coup le VR ne fonctionne plus. Vous en attendrez encore parler car l'achat est reporté à plus tard.

Une des églises dans le village de Tarata
Village de TArata

Pour attendre jusqu'à samedi nous déambulons dans les rues de la ville. La ville entière est une suite de marché qui se succède. C'est très impressionnant et on est surpris de voir qu'il reste encore du monde pour acheter. On passe aussi quelques heures dans le petit village de Tarata à 1 heure de Cochabamba.

Nos photos de Tarata
Village de TArata
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Mercredi 10 juin au vendredi 12 juin 2009

Un bel avant-midi nous prenons la direction du Cristo de Concordia. On laisse tomber notre budget serré et on prend le téléphérique (6Bs aller-retour pe 1 $) plutôt que prendre les 1350 marches. Le Christ mesure 33 mètres, quelque poussières de plus que celui de Rio au Brésil!!!! De là haut nous avons une belle vue sur toute la ville qui est très étendue. On peut aussi remarquer la pollution qui s'y dégage.

Le Christo Concordia
Ville de Cochabamba en Bolivie


Nos photos de la ville de Cochabamba
Ville de Cochabamba en Bolivie
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Téléphérique pour le Cristo
Ville de Cochabamba en Bolivie

Vidéo de Cochabamba et les environs
On poursuit en âpre midi avec la nouvelle ville au nord, toute une différence avec le vieux quartier.
Le lendemain c'est à Punata que nous passerons la journée pour le festival de danses.

Partie Nord de Cochabamba
Ville de Cochabamba en Bolivie Ville de Cochabamba en Bolivie
Ville de Cochabamba en Bolivie

Interdictions amusantes
interdiction interdiction
interdiction

Par Maryse Guévin et Dany Thibault
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Les petits malheurs d'une journée en Bolivie

Dimanche 8 juin 2008 une mauvaise journée

Quand ça commence mal, on dirait que tout s'enchaine. Ce lundi fut une journée de petits malheurs, rien de très grave mais toutes les petites choses pour mettre nos nerfs à vif.

On quitte la chambre vers midi et la dame nous apprend que les douches chaudes que nous avons prises n'étaient pas incluses dans le prix. Pourtant, on payait chaque jour la chambre, on demandait la clé pour la douche mais jamais elle ne nous avait mentionné que nous devions payer. Donc surpris, un petit montant d'extra de 3Bs par douche prit durant la semaine...

On cherche internet pour passer notre après-midi car le bus n'est qu'à 18 h. Enfin, on trouve un café qui accepte notre ordinateur portable, c'est souvent difficile depuis que nous sommes en Bolivie de trouver un café qui accepte. On branche le tout, on commence nos envois, 30 minutes plus tard, elle nous dit qu'elle ferme pour le diner (il est 13 h 30). La vidéo est au tiers envoyé et nous devons tout annuler.

Recherche d'un autre café internet, plus cher celui-ci mais qui accepte aussi notre ordinateur. On réussit à y passer l'après-midi.

Nous allons au marché chercher les délicieux poudings au chocolat que nous avons mangé toute la semaine, et quelques trucs pour manger dans le bus. Une fois sortie du commerce on se rend compte qu'aujourd'hui (l'inflation à frappé) et nous avons payé nos poudings 30 % de plus!

Nous nous gardons 1 h 30 de manœuvre pour prendre le bus de ville plutôt que de marcher les 3 km qui nous sépare de la gare. On prend donc un bus qui est inscrit terminal mais pour être certain (on fait toujours ça) on demande également au chauffeur s'il se rend bien au terminal. On sait bien que le bus fait plusieurs détours mais nous ne voulions pas marcher. Il tourne, tourne puis reprend la direction du centre. On lui redemande pour le terminal, il dit oui, mais que nous pouvons aussi prendre un autre bus (d'où nous sommes) pour aller plus vite. On reste tout de même dans ce bus-ci car nous ne voulons pas chercher et attendre pour un autre numéro de bus. Il revient exactement là où nous l'avons pris au départ, ça fait 1 h que nous sommes dans le bus. On lui redemande s'il se rend au terminal, et là il dit oui mais avant il va du coté campisino, impossible, nous allons être en retard, quel con ce chauffeur, on marche une partie de trajet mais on avance lentement avec nos sacs et il reste peu de temps.

On demande donc rapidement à un taxi qui nous offre un prix intéressant et on spécifie que c'est bien pour les deux. Bien sûr une fois le moment de payer, le prix est au double, il nous reste que quelque minutes avant notre bus, on paie son prix et court à notre bus qui bien sûr est en retard (mais ça arrive qu'ils soient à l'heure et on ne voulait pas prendre de chance)

Le bus arrive enfin après 1 h d'attente. On a un mauvais pressentiment pour nos sacs donc on décide de les rentrer avec nous à l'intérieur. Bien sûr le gars nous dit que nous n'avons pas le droit, je lui montre les sacs que toutes ces mamitas ont sur le dos (des sacs immenses en baluchons) et je lui dis que c'est au moins aussi gros que le mien si ce n'est pas plus. Ce n'est pas pareil, elles, ce sont des couvertures pour la nuit, on lui confirme que nous avons nous aussi beaucoup, de couvertures. C'est la police qui va régler ça nous dit-il. Pauvre lui, il n'a pas choisi la bonne journée pour nous faire chier. On entre et on place nos sacs à dos qui entrent même dans la porte-bagage du haut, on ne peut pas en dire autant des baluchons! Bien sûr, personne ne viendra nous faire retirer nos sacs du bus encore moins la police.

Par contre une fois installée, une personne arrive et a bien sûr le même numéro que nous (c'est très fréquent ici). Il nous dit fièrement avoir acheté son ticket ce matin, nous, nous l'avons acheté il y a deux jours. On doit donc aller voir la compagnie de bus pour explication. Ceux qui sont passés par la Bolivie savent que nous écrivons notre nom nous même sur le numéro que nous achetons. Et bien la dame (pour je ne sais pas quelle raison) a effacé nos noms au « liquide paper » pour nous mettre un peu plus loin. Je l'engueule un peu (avec ce que j'ai comme mot en espagnol) mais que pouvons-nous y faire? Le plus choquant c'est de voir les autres tout souriants (en ayant l'air de dire : « je te l'ai dit que j'ai acheté les tickets tôt ce matin ») alors que lorsque nous avons inscrit nos noms nous étions les premiers sur cette page vierge.

Le bus part enfin, il est 19 h.

Et puis là gars juste derrière nous décide qu'il ne veut pas enlever sa tuque, ses gants, son double manteau et sa couverture et ouvre grande NOTRE fenêtre, nous avons joué à ferme et ouvre la fenêtre pendant les deux premières heures du trajet (il fait relativement froid le soir à cette altitude) j'ai fini par gagner...

La nuit arrive, la journée est enfin terminée.


Par Maryse Guévin et Dany Thibault
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Sucre et le marché de Tarabuco en Bolivie.

Ville de Sucre
Ville de Sucre Bolivie

Sucre est la capitale constitutionnelle du pays! Ah oui! Mais La Paz est la capitale de fait avec le parlement, palais présidentiel et ambassades, Sucre a gardé la Cour suprême... Fondée en 1538, elle est un bijou pour les amateurs d'art baroque. Nous sommes ici à 2790 mètres d'altitude et avec une population de 230,000 habitants. La ville est classée patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1991.


le Dimanche 31 mai 2009 Sucre

Arrivé à Sucre, nous partons du terminal à pied et vérifions toutes les chambres sur la route, on ne trouve rien à moins de 25Bs pp. On continu jusqu'au centre, encore les mêmes prix, on regarde un peu dans notre guide et là les prix sont vraiment très cher ou il y a l'adresse économique qui est à 20-25Bs pe mais les chambres sont assez minable pour le prix. On continu notre recherche et entre trois hostals nommés dans les guides, nous en trouvons un qui n'est pas listé (dans le notre entuba) Alojiamento San José, elle nous fait la chambre pour deux à 42BS pour quelques jours. La chambre est très grande, nous avons même une table, et un balcon donnant sur le marché. Parfait pour nous.

Nos photos de Sucre
Ville de Sucre Bolivie

Dany réussit à se débarrasser des fameux sandwichs au poulet sans médicament et nous profitons pour nous cuisiner des brocolis le temps qu'il aille mieux. Ensuite, nous profitons des restos.

Potosi à Sucre
salade de fruit au marché de Sucre salade de fruit au marché de Sucre

Nous décidons que nous resterons jusqu'au prochain marché de Tarabuco, comme nous n'avons rien fait les premières journées de notre arrivée ici, on a de quoi s'occuper pour les jours suivants. On commence par aller voir le château à 7 km plus au sud de la ville.

Video de Sucre et Tarabuco

Nous passons aussi du temps dans le musée Colonial anthropologique, où il y a des momies surprenantes. On ne pensait pas voir autant de momies en Bolivie!

Photos du musée
Musé Colonial et anthropologique de Sucre
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Musé Colonial et anthropologique de Sucre

Il y a plusieurs cours d'espagnol mais ce sera pour plus tard pour nous. L'alliance française donne des cours de groupe sur deux semaines à raison de 2 h par jour à 170Bs le tout, prix très attractif. Notre semaine passe vite et déjà c'est le temps du marché à Tarabuco. Nous avons même le droit durant la semaine à une parade de crayon;)

Parade sur la grande place
ville de Sucre

Dimanche le 7 juin 2009 Tarabuco

Nous nous levons tôt le matin pour rejoindre à pied le parada de bus pour Tarabuco. Nous partons vers 8 h en micro bien chargé pour 8 BS PPP plutôt que les 35 BS aller-retour affiché dans les agences. On passe la journée à se promener dans la ville qui est transformée pour l'occasion en marché géant. Les gens des villages voisins viennent y magasiner. Les femmes autant que les hommes sont très colorés, il y aurait eu plusieurs belles photos à prendre mais on se garde une petite gêne (même si on en a qq une) contrairement à plusieurs qui pointent leurs appareils en plein visage des marchands.

Marché du dimanche à Tarabuco Marché du dimanche à Tarabuco

Marché du dimanche à Tarabuco Marché du dimanche à Tarabuco

Nos photos de Tarabuco
Marché du dimanche à Tarabuco
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Le grand marché
Marché de Tarabuco

Nous revenons en fin d'après-midi à Sucre dans un micro tout aussi bondé. C'est notre dernière nuit à Sucre, demain nous prenons un bus de nuit pour Cochabamba.



Par Maryse Guévin et Dany Thibault
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